Sainte germaine, le pouvoir de la guérison par magnétisme
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Sainte germaine, le pouvoir de la guérison par magnétisme

Sainte germaine, le pouvoir de la guérison par magnétisme :

Un matin de décembre de 1644, le fossoyeur Guillaume Cassé, aidé de Gaillard Baron, creuse une fosse dans l’église de Pibrac où Germaine Andouane avait formulé le vœu d’être ensevelie.
À peine avaient-ils commencé à creuser le sol qu’ils découvrent le corps d’une jeune fille, un corps en parfait état de conservation. Sa tête est couronnée d’une guirlande d’œillets des champs mêlés d’épis de seigle : ces détails nous permettent de situer sa mort vers le mois de juin, car les fleurs ont perdu de leur éclat, mais les épis sont dorés et gonflés de grains. Le premier coup de pioche malencontreux a atteint l’aile du nez : la blessure a tout l’aspect de la chair vivante.

Un ancien magnétiseur guérisseur du village a reconnu le corps :

En effet, le cou porte des cicatrices, la main est infirme. Ils racontent alors que Germaine gardait les moutons en filant la laine. Elle se rend tous les jours à la messe. Pour cela Germaine était obligée de laisser ses moutons, sans surveillance alors que les loups étaient nombreux dans la forêt voisine. Elle plantait alors sa canne et aussitôt les moutons venaient se ranger autour pour ne plus s’en éloigner tant que durait l’absence de leur maîtresse, tandis que les loups étaient, de leur côté, tenus à distance par une force invisible.

Pour aller à l’église, Germaine devait traverser le Courbet, mais un jour, les pluies abondantes, montre un ruisseau devenu trop dangereux pour traverser. Germaine n’avait peur de rien, au moment de traverser, les eaux s’ouvrirent, devant la bergère et elle traversa le ruisseau à l’aller et au retour sans se mouiller.

Germaine, les miracles d’une sainte :

Soupçonnant Germaine d’emporter de la maison du pain pour le donner aux pauvres, sa belle-mère se précipita sur elle et ouvrit le tablier de la bergère, au lieu de pain il en tomba une pluie de roses.
En 1793, À Pibrac, certaines personnes voulurent détruire le cadavre de sainte germaine, qui attirait à l’époque de nombreux pèlerins.
Les Pibracais récupèrent les précieux restes du corps de Germaine, à partir de ce moment, de nombreux dévouements et guérison apparaissent. On parle même de miracle.
Parmi les milliers de miracles, deux retiendront l’attention de certains fidèles, une fillette de 8 ans atteinte de rachitisme et un garçon atteint d’une pathologie incurable.

Il y a aussi, la guérison de deux jeunes filles atteintes de paralysie, c’est à ce moment-là que Germaine cousin, est déclarée sainte par le Pape IX en 1867 à Rome.
Orpheline, malade, pauvre, maltraitée par ses proches, sainte Germaine est la patronne des faibles, des malades, de tous ceux qui souffrent et que la vie malmène.

La Basilique Sainte Germaine, un lieu fréquenté par de nombreux magnétiseurs guérisseur :

Après que le Pape est annoncé la canonisation de sainte Germaine en 1867, l’église de Pibrac s’avère trop petite pour accueillir les nombreux pèlerins. On décide donc de construire une basilique en l’honneur de notre sainte et dans la possibilité d’être un recueil pour les personnes souffrantes.
Le chantier est financé par les dons des pèlerins dont beaucoup d’Américains, l’approvisionnement en eau nécessite la construction d’un château d’eau toujours visible à côté de la basilique, la pierre blanche vient de la région de Poitiers et les colonnes de marbre d’Arudy dans les Pyrénées-Atlantiques, seule la brique est toulousaine. Tout doucement les murs montent.
Puis arrivent les guerres de 1914-1918 et 1939-1945, le manque d’argent et de main-d’œuvre ralentit le projet. En 1960, la décision est prise de modifier les plans initiaux et d’utiliser le béton afin de pouvoir terminer la basilique et l’utiliser.

L’église Sainte Marie Madeleine, un lieu bien connu de Sainte Germaine :

Bien que restaurée depuis l’époque de sainte Germaine, c’est dans cette église que Germaine Cousin assistait tous les jours à la messe et que son corps intact fut retrouvé en 1644. Ses reliques y sont conservées dans une châsse.
L’église date du XIIIe siècle. Habillée de briques roses elle avoisine le château et vue de l’extérieur, elle est remarquable par son clocher-mur.
En 1854, année de la béatification de Germaine Cousin, une chapelle attenante à l’église est élevée à la gloire de la Sainte, c’est dans cette chapelle que se trouve la châsse contenant les reliques de la sainte. À la même période, un magasin est annexé à l’ensemble pour l’accueil des pèlerins.

Le clocher de l’église de Pibrac est un clocher fortifié datant du XIIIe siècle dont le caractère défensif révèle l’époque troublée pendant laquelle les architectes songeaient à défendre les églises. En cas de danger, les habitants venaient chercher un refuge dans l’église quand ils ne se sentaient plus en sûreté dans le fort.

Maison natale sainte germaine, prière et guérison dans ce lieu culte :

C’est une ferme rustique, humble ferme toulousaine qui n’a d’autre intérêt que celui d’avoir été la demeure de sainte Germaine.
La façade est orientée vers le couchant. Les murs sont en briques cuites et crues et cailloux et datent du 18e siècle mais dans le grenier, au premier étage, quelques cloisons en torchis pourraient être contemporaines de la sainte.
Le rez-de-chaussée se compose de deux pièces séparées par un couloir, la porte de gauche permet d’entrer dans la bergerie, où se trouvait l’humble couchette de Germaine dans un réduit étroit sous l’escalier.

Après la mort de Germaine, le 15 juin 1601, la famille Cousin ne tarde pas à quitter le pays. Sa maison est achetée et vendue plusieurs fois. Après avoir été en ruine pendant un certain temps, elle est, ainsi que les terres qui l’entourent, pendant plus d’un siècle, la propriété de la famille Quinsac. Le dernier Quinsac étant mort sans enfants, la succession revient à plusieurs héritiers et en 1922, la propriété est vendue aux enchères.

La paroisse de Pibrac n’étant pas assez riche pour l’acheter, c’est un généreux bienfaiteur anonyme qui en devient propriétaire et qui l’offre plus tard au diocèse.
Le site de la Maison de sainte Germaine et ses abords est classé aux monuments historiques depuis le 25 février 1976.
À l’extérieur on peut voir, l’oratoire qui marque l’emplacement où aurait eu lieu le miracle des roses, la croix qui est la dernière station du Chemin de Croix qui part devant la Croix de Jérusalem, sur l’Esplanade. Le socle de cette croix est fabriqué à l’aide de la pierre qui servait à moudre le grain à l’époque de Laurent Cousin.

Pèlerinage Sainte Germaine, un rendez-vous contre les douleurs :

Aller au pèlerinage de Pibrac le 15 juin, Il existe tant de sanctuaires mariaux, tant de propositions qui nous aguichent en ce mois de juin, à la veille des vacances.
Alors, pourquoi se rendre dans la ville de sainte Germaine, après tout, on connaît déjà son histoire.
Eh bien, tout simplement pour rencontrer une Sainte simple et extraordinaire, mais en quoi cette bergère illettrée, totalement inconnue des annales historiques, cette manchote anonyme suscite malgré toute la curiosité.

Chemin de croix, une promenade vers les soulagements :

La maison où a vécu et où est morte Sainte Germaine existe toujours. Elle se situe à environ 3 km de Pibrac et elle est accessible soit par la route soit en suivant le chemin de Croix partant du prieuré de Pibrac jusqu’à la Métairie de Laurent Cousin. Elle est située sur un site classé au patrimoine de la France. La ferme est située sur un terrain en partie boisé, une mare jouxte la maison. Seule la bergerie où mourut Sainte Germaine se visite.

La fontaine guérisseuse de Sainte Germaine, un rituel énergétique :

Étape incontournable pour tout pèlerin qui marche sur les pas de sainte Germaine, la fontaine de sainte Germaine reçoit, été comme hiver, de nombreuses visites : pèlerins et magnétiseurs guérisseurs qui s’arrêtent pour une courte prière, promeneurs que le bruit de l’eau attire ou passant intrigué par cette petite construction.
La source de sainte Germaine, appartenait avant 1888 à M. Claude Desclaux habitant à Giscaro dans le Gers. Le 2 octobre 1888, un couple de Pibracais, Jean et Doumengue Abadie achètent cette source et les terrains attenants.

À Pibrac, après la canonisation de Germaine Cousin en 1867, les pèlerins sont très nombreux et se pressent sur le chemin qui va de l’église à la bergerie. La source de sainte Germaine est sur leur passage. C’est certainement pour satisfaire la demande des visiteurs que les propriétaires construisent en 1895 un petit édicule pour abriter la source.
La tradition veut que sainte Germaine, quand elle amenait ses moutons au pâturage, s’arrêtait pour y boire et faire boire son troupeau. Il n’est pas rare de voir des visiteurs qui, faute de pouvoir la boire, s’en lavent les mains et la figure en souvenir des gestes que devait faire Germaine pour atténuer ses douleurs.

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